Index du lexique
A B C D E F G H I J K L M
N O P Q R S T U V W X Y Z
A
Actigraphe Appareil biomédical servant à mesurer les mouvements du corps.
ADD (TTS) Durée totale de sommeil effectif pour une nuit de sommeil. Correspond à la totalité des éplsodes de sommeil (REM et NREM) moins les périodes d’éveil.
Apnée Arrêt du débit naso-buccal pendant au moins 10 secondes. Il existe trois types d’apnée : obstructive, centrale et mixte. L’apnée obstructive est associée à l’obstruction des voies aériennes supérieures : l’apnée centrale est associée à un arrêt de tous les efforts respiratoires et l’apnée mixte présente des aspects centraux et obstructifs.
Appareil à pression positive continue automatique (APAP) Un type d’appareil de PPC qui surveille les changements de la respi­ration et qui les compense automatiquement par l’intermédiaire d’a­justements appropriés de la pression.
VDNP
(Ventilation à double niveau de pression)
Appareil fournissant deux niveaux de pression positive, une pour l’ins­,· piration, l’autre pour l’expiration. Bénéfique pour les patients sous PPC qui ne supportent pas les pressions fixes élevées et pour les patients présentant des signes d’hypoventilation et d’insuffisance res­piratoire.
Appareil d’autotitration Appareil qui augmente ou balsse la pression en réponse à des évène­ments spécifiques comme les ronflements, la limitation du débit et les apnées.
Architecture du sommeil Phases NREM-REM du sommeil et structure des cycles du sommeil en fonction de la relation quantitative de ces composants entre eux.
Retour à l’index
B
Bradycardie Rythme cardiaque d’un adulte inférieur à 40 bpm.
BPCO (Bronchopneumopathie chronique obstructive) Maladie respiratoire caractérisée par la détérioration chronique non réversible du débit expiratoire au niveau des voies aériennes inférieures.
Bruxisme Grincement de dents pendant le sommeil.
Retour à l’index
D
Début du sommeil Transition de l’état d’éveil à l’état endormi, normalement en stade 1.
Désaturation Chute de la saturation en dioxygène de 3% par rapport à la valeur de référence.
Désaturation en oxygène Quantité d’oxygène transporté par l’hémoglobine dans le sang inférieure à la normale. Des valeurs inférieures à 95 % sont considérées comme anormales.
Diaphragme Large muscle de forme concave situé au-dessus de l’abdomen et attaché à la cage thoracique. Une inspiration est effectuée quand le diaphragme se contracte. L’expiration est passive puisque les muscles se relâchent.
Dette de sommeil Résultat d’un manque répété de sommeil, apparaissant progres­sivement lorsqu’un individu ne dort pas suffisamment pour se régénérer et se sentir frais et dispos.
Durée totale d’enregistrement Durée entre le début et la fin de l’étude (du coucher au lever) comprend aussi les périodes d’éveil et d’activité observées pen­dant l’étude.
Dyspnée Gène respiratoire.
Retour à l’index
E
Echelle de somnolence d’Epworth (ESE) Méthode d’évaluation des comportements pour établir le niveau de somnolence d’une personne. L’ESE a été validé suite à des études cliniques.
Electrocardiographie (ECG) Enregistrement de l’activité électrique cardiaque.
Electroencephalogramme (EEG) Enregistrement de l’activité électrique cérébrale à l’aide d’élec­trodes posées sur le crâne.
Electromyogramme (EMG) Enregistrement de l’activité musculaire à l’aide d’élec­trodes posées sur certains muscles (menton, jambes…).
Electrooculogramme (EOG) Un enregistrement des changements de tension dus aux mouve­ments oculaires. Avec l’EEG et l’EMG, l’EOG est une trois variables de base utilisées pour évaluer les phases de sommeil et les micro­éveils. Pour les enregistrements du sommeil chez les humains, on utilise des électrodes extérieures à proximité des yeux pour enre­gistrer les mouvements oculaires.
Enurésie (appelée également énurésie nocturne) Incontinence d’urine. Plus courante chez les enfants, elle disparaît avec l’âge à cause de la chute de la densité en ondes delta.
Etude diagnostique du sommeil Suivi de plusieurs activités physiologiques d’un individu endormi. Cette étude sert habituellement à déterminer l’absence ou la présence d’un trouble spécifique du sommeil. L’étude du sommeil peut être effectuée dans un centre spécialisé ou au domicile du patient avec un appareil d’enregistrement portable.
Eupnée Respiration facile et normale.
Retour à l’index
H
Histogramme Courbe indiquant les phases du sommeil au cours de la nuit.
Humidification Ajout d’humidité au débit d’air du traitement sous PPC (pression positive continue) contre le syndrome d’apnée obstructive du sommeil (SAOS). L’humidification peut être ajoutée à la PPC en dirigeant le débit d’air à travers un réservoir rempli d’eau froide ou chaude. l’objectif est de prévenir la sécheresse des voies aériennes supérieures.
Hygiène du sommeil Conditions et habitudes favorisant un sommeil continu et efficace, y compris la régularité des heures de coucher et d’éveil, une période de sommeil suffisante pour éviter la somnolence diurne, la restriction de la consommation d’alcool, de caféine et de l’exercice physique avant d’aller se coucher, une alimentation et un environnement propices à un sommeil sain.
Hypercapnie Niveau élevé de dioxyde de carbone dans le sang.
Hypersomnie Périodes de sommeil trop prolongé ou trop profond. Peut être asso­ciée à une difficulté de réveil ou à un sommeil éthylique.
Hypertension Pression artérielle élevée.
Hypoventillation alvéolaire Ventilation insuffisante des unités terminales des bronches : les alvéoles. Les personnes qui en souffrent ont un mauvais transfert des gaz entre les poumons et le sang. Cela provoque une augmentation du dioxyde de carbone et la réduction des niveaux d’oxygène dans le sang. Aussi connu sous le nom syndrome d’hypoventilation alvéolaire centrale.
Hypopnée Episodes, au cours du sommeil, de baisse de l’amplitude de la respira­tion d’au moins 50 %, ou épisode associé à une désaturation en oxygène de plus de 30 % ou à un micro-éveil si cette baisse de l’am­plitude est inférieure à 50 %.
Hypoventillation Réduction de la quantité d’air entrant dans les alvéoles pulmonaires.
Hypoxémie Faible niveau d’oxygène dans le sang. l’hypoxémie peut avoir des effets importants sur le système cardiovasculaire et entraîner l’appari­tion d’une hypertension, d’une insuffisance cardiaque et d’accidents vasculaires cérébraux.
Hypoxie Diminution de la quantité d’oxygène dans les tissus.
Retour à l’index
I
Hypoventillation Réduction de la quantité d’air entrant dans les alvéoles pulmonaires.
Hypoxémie Faible niveau d’oxygène dans le sang. l’hypoxémie peut avoir des effets importants sur le système cardiovasculaire et entraîner l’appari­tion d’une hypertension, d’une insuffisance cardiaque et d’accidents vasculaires cérébraux.
Hypoxie Diminution de la quantité d’oxygène dans les tissus.
Index d’apnée (IA) Nombre d’épisodes d’apnée (obstructive, centrale et mixte) par heure d’enregistrement de sommeil, déterminé par une polygraphie ou une polysomnographie durant une nuit entière. Parfois un index d’apnée obstructive séparé est établi.
index apnée/hypopnée Nombre d’apnées et d’hypopnées par heure de sommeil.
Index de trouble respiratoires (IAH) Nombre d’apnées (obstructives, centrales ou mixtes) plus hypopnées par heure de sommeil total, comme déterminé par une polysomnographie ou une polygraphie sur une nuit entière.
Indice de masse corporelle Indice utilisé pour évaluer la masse d’une personne. Le calcul con­siste à diviser le poids par la taille au carré.
Insomnie Difficulté à s’endormir et/ou à rester endormi. Ce terme est communé­ment employé pour désigner tous les types et tous les degrés de perte de sommeil.
Intervalle Période d’environ 20 à 30 secondes habituellement (en fonction du polysomnogramme et de la vitesse de défilement du papier) corres­pondant à une page produite par la polysomnographie. Les changements du sommeil sont consignés d’intervalle en intervalle.
Invasive Désigne une procédure médicale au cours de laquelle un orifice cor­porel ou la peau doit être pénétrée afin de collecter des données ou d’effectuer un diagnostic
IPAP Pression inspiratoire positive. Pression prescrite par le médecin pour la phase inspiratoire d’un appareil d’aide inspiratoire avec PEP.
Retour à l’index
L
Latence du sommeil Durée entre l’extinction des lumières et le commencement du sommeil.
Latence du sommeil REM Intervalle entre le début du sommeil et l’apparition du sommeil REM, dans le cycle du sommeil.
Limitation du débit Obstruction partielle des voies aériennes. En règle générale, cette obstruction partielle précède une fermeture complète des voies aé­riennes supérieures comme par exemple pour les apnées obstruc­tives. Dans ce cas, le débit inspiratoire normal de forme arrondie s’aplatit (prend la forme d’un plateau).
Retour à l’index
M
Manque de sommeil Manque sévère ou chronique de sommeil.
Mesure du niveau de C02
en fin d’expiration
Valeur de dioxyde de carbone déterminée habituellement au niveau des narines par un analyseur de dioxyde de carbone à infrarouge, La valeur reflète le niveau alvéolaire ou sanguin artériel pulmonaire, en dioxyde de carbone.
Micro-éveil Passage soudain d’un sommeil NREM profond à un sommeil plus léger ou d’un sommeil REM à un état d’éveil avec la possibilité d’un réveil complet.
Micro éveîls lies à l’effort respiratoire (RERA) Limitation du débit inspiratoire, habituellement accompagnée par un micro-éveil sans désaturation en oxygène.
Montage Configuration particulière dans laquelle plusieurs dérivations sont affichées simultanément dans un polysomnogramme.
Mouvement périodique des jambes (MPJ) Flexion rapide et partielle au niveau de la cheville, extension de l’orteil et flexion partielle du genou et de la hanche qui se produit pendant le sommeil. Les mouvements se manifestent selon un intervalle de 20 à 60 secondes et durent de 0,5 à 5 secondes. Ils sont la caractéristique principale des troubles des mouvements périodiques des membres.
Retour à l’index
N
Narcolepsie Trouble du sommeil caractérisé par une somnolence excessive, la cataplexie, la paralysie du sommeil, des hallucinations hypnagogiques ainsi qu’une tendance anormale à passer directement d’un état éveillé à un sommeil REM.
Nycturie Besoin excessif et très fréquent d’uriner pendant la nuit.
Retour à l’index
O
O2 Symbole chimique de l’oxygène.
Orthèse d’avancée mandibulaire Attelle buccale utilisée pour pousser en avant la mandibule afin d’essayer de prévenir les événements respiratoires obstructifs et de réduire l’IAH.
Overlap syndrome Terme utilisé pour décrire les patients souffrant d’une combinaison de SAOS et de BPCO.
Oxymètre (Pouls) Donne une estimation de la saturation artérielle de l’hémoglobine en oxygène (SaO2) en utilisant des longueurs d’ondes données pour déterminer de façon non-invasive la saturation pulsée de l’hémoglo­bine en oxygène (SpO2).
Oxymétrie (Pouls) Contrôle continu de la saturation en oxygène du sang artériel par l’intermédiaire d’un oxymètre de pouls. Le capteur est habituellement fixé au doigt.
Oxymétrie de Pouls Mesure non-invasive de la saturation en oxygène, c’est-à-dire la quantité d’oxygène dans l’hémoglobine exprimée en pourcentage. Cette mesure n’est pas aussi précise que les valeurs obtenues par une gazométrie du sang artériel et ne doit être utilisée que pour une évaluation de l’oxygénation. Les plages normales se situent entre 95 et 100 %
Retour à l’index
P
PaO2 Pression partielle d’O2 dans le sang. Une valeur au-dessus de 60 est habituellement considérée comme sûre. Une valeur inférieure à 60 est un signe d’hypoxémie et représente un danger potentiel pour le patient.
Parasomnie Trouble du réveil, du réveil partiel ou de la transition entre les pha­ses du sommeil. Mouvement et comportements pendant le sommeil (somniloquie, somnambulisme, bruxisme, etc.)
PEP Pression expiratoire positive. Pression prescrite pour la phase expira­toire d’un patient sous VNI.
Période de sommeil NREM
(non paradoxal)
Période de sommeil non paradoxal dans un cycle de sommeil (NREM-REM) constitué principalement de phases de sommeil 3 et 4 dans les cycles de début de la nuit et de phase de sommeil 2 dans les cycles de fin de nuit.
Phase de sommeil 1 Phase du sommeil non paradoxal (sommeil lent) intervenant à l’en­dormissement ou suite à un micro-éveil pendant la phase de som­meil 2, 3, 4 ou REM.
Phase de sommeil 2 Phase du sommeil NREM représentant habituellement 45-55 % du temps de sommeil
Phase de sommeil 3 Phase du sommeil NREM, représentant le sommeil NREM profond et qui est souvent appelée sommeil à ondes lentes lorsqu’elle est com­binée à la phase de sommeil 4. Représente habituellement 4 à 6 % de la durée totale du sommeil.
Polygraphie (PG) Enregistrement continu et simultané des paramètres respiratoires pendant le sommeil, c.-à-d. débit respiratoire, mouvements respiratoires, position et mouvements du corps, Sp02, pouls et autres variables.
Polysomnogramme (PSG) Enregistrement continu et simultané des variables physiologiques pendant le sommeil, c.-à-d. EEG, EOG, EMG, ECG, débit d’air, mouve­ments respiratoires, mouvements des membres inférieurs et autres variables électrophysiologiques.
PPC (Pression positive continue) (PPC) : Appareil délivrant dans les voies aériennes du patient une pression positive continue par l’intermédiaire d’une interface non invasive. la pression positive agit comme une attelle pneumatique maintenant les voies aériennes supérieures ouvertes pendant le sommeil.
Retour à l’index
R
Rebond REM Augmentation de la fréquence, de la durée et de l’intensité des épisodes de sommeil REM aboutissant à une augmentation du pour­centage du sommeil REM par rapport à la valeur de référence. le rebond du sommeil REM fait suite au manque de sommeil REM, lorsque les problèmes à l’origine du manque sont réglés.
Résistance des voies nasales Résistance des voies aériennes supérieures au débit.
Respiration Cheyne-Stokes Forme de respiration qui se caractérise par des fluctuations crois­santes/décroissantes de la fréquence et du volume respiratoire et qui peut être engendrée par des maladies cardiovasculaires.
Réspiration périodique
(Cheyne-Stokes)
Type de respiration qui consiste en une alternance de faible respira­tion suivie de respiration profonde. Respiration qui se caractérise par des fluctuations cycliques crescendo/decrescendo, entrecoupées de périodes d’apnées centrales ou d’hypopnées centrales.
Réveil Passage à un état d’éveil ainsi défini par une polysomnographie à partir d’une phase du sommeil NREM (non paradoxal) ou REM (paradoxal). Le réveil est caractérisé par l’activité EEG alpha et bêta, une hausse de l’activité EMG tonique, des mouvements oculaires volontaires et des clignements d’yeux. Cette définition du réveil est valable uniquement dans la mesure où les données du polysomno­graphe sont confirmées par un état physique d’éveil et de conscience raisonnable.
Ronflement Bruit produit principalement à l’inspiration pendant le sommeil et provoqué par la vibration du voile du palais et des piliers de l’entrée de l’oropharynx. De nombreux ronfleurs souffrent d’une obstruction incomplète des voies aériennes supérieures et sont susceptibles de développer des apnées obstructives du sommeil.
Rythme circadien Rythme biologique qui permet de réguler le corps.
Retour à l’index
S
SaO2 Mesurée par l’intermédiaire des gaz du sang, la SaO2 représente la saturation en oxygène de l’hémoglobine. Exprimée en pourcentage. Valeurs normales d’un adulte : 100 % – 93 %.
Saturation en oxygène Mesure de l’oxygène transporté par l’hémoglobine dans le sang. Valeurs normales: 95 % – 100 %.
Sommeil lent Terme utilisé pour décrire le sommeil NREM.
Sommeil NREM
(Non paradoxal ou sommeil lent)
Autre phase majeure du sommeil, avec le sommeil REM, constituée par les phases de sommeil 1-4, qui représentent le niveau de pro­fondeur ou d’intensité physiologique du sommeil.
Sommeil paradoxal Terme utilisé pour décrire le sommeil REM des enfants.
Sommeil REM (paradoxal) Proportion de la durée totale du sommeil constituée par la phase REM.
Somnanbulisme Automatisme ambulatoire pendant le sommeil.
Somnolence diurne excessive (SDE) Rapport subjectif sur la difficulté à rester éveillé, évaluant un endormissement rapide lorsque l’individu est immobile ; fait égale­ment référence à la sensation de fatigue diurne.
SpO2 (Saturation pulsée en oxygène) Mesure effectuée avec un oxymètre de pouls qui donne une indica­tion du niveau de saturation en oxygène de l’hémoglobine. Les niveaux normaux d’un adulte vont de 93 % à 100 %.
Syndrome d’apnée/hypopnée du sommeil Condition constituée d’apnées, d’hypopnées et de micro-éveils liés à l’effort respiratoire.
Syndrome d’apnée obstructive du sommeil (SAOS) Syndrome caractérisé par des épisodes répétitifs de complète ou partielle obstruction des voies arériennes pendant le sommeil.
Syndrome d’augmentation de la résistance des voies aériennes supérieures (UARS) Présence de micro-éveils répétés après des périodes d’augmentation de l’effort respiratoire. Ces micro-éveils ne sont pas détectés par des capteurs thermiques {c.-à-d. thermistances ou thermocouples) mais ils peuvent être identifiés par un signal d’un capteur de pression au niveau nasal.
Syndrome de Pickwick Terme appliqué aux patients SAOS obèses souffrant d’hypoventilation alvéolaire et présentant des niveaux importants de dioxyde de car­bone et des niveaux anormalement faibles d’oxygène.
SJSR (Syndrome des jambes sans repos) Trouble du sommeil caractérisé par une sensation de picotement ou de fourmillement dans les jambes et qui a tendance à se manifester lorsque la personne est au repos. La personne ressent un besoin presque irrésistible de bouger les jambes afin de soulager les sensa­tions désagréables.
SOH (Syndrome obésité-hypoventillation) Terme applicable aux personnes obèses qui souffrent d’hypoventila­tion {hypercapnie) pendant la journée, souvent accompagnée d’un SAOS sévère.
Système nerveux central (SNC) Cerveau et moelle épinière.
Retour à l’index
T
Tachycardie Rythme cardiaque rapide, habituellement défini par un pouls supérieur à 100 battements par minute (8PM).
Tachypnée Rythme ventilatoire rapide. Supérieur à 20 cycles par minutes.
Test de maintien d’éveil Etude diurne similaire au TILE. Série de mesures de l’intervalle de temps entre l’extinction des lumières et l’endormissement servant à évaluer la somnolence excessive. Les sujets doivent essayer de rester éveillés, en position semi-allongée dans une pièce sombre. Ce test est très utile pour évaluer l’effet des médicaments sur la capacité à rester éveillé.
Test itératif/latence d’endormissement (TILE) Série de mesures de l’intervalle de temps entre l’extinction des lumières et le début du sommeil, servant à évaluer la somnolence excessive. Les sujets sont placés dans des situations propices à l’endormissement pendant leur période habituelle d’éveil. Une som­nolence excessive se caractérise par de courtes latences de som­meil. Les longues latences sont utiles pour distinguer la lassitude physique ou la fatigue d’une véritable somnolence.
Titration manuelle Augmentation progressive de la pression PPC appliquée pendant une polysomnographie, afin de déterminer la pression optimale de traitement.
Troubles respiratoire du sommeil Vaste éventail de maladies ayant de multiples origines y compris les mécanismes dysfonctionnels du sommeil, les anormalités des fonctions physiologiques, celles de l’horloge biologique, et les troubles du sommeil provoqués par des facteurs extrinsèques au mécanisme du sommeil.
Retour à l’index
U
UPPP (Uvulopalatopharyngoplastie) Ablation chirurgicale des excès de tissus superflus au niveau du pharynx (typiquement la luette, le voile du palais et les amygdales) afin d’éviter une obstruction des voies aériennes supérieures.
Retour à l’index
V
VNI (Ventilation non-invasive) Ventilation par pression positive administrée par voie nasale ou buccale par l’intermédiaire d’un masque ou d’une interface non invasive. La pression est variable plutôt que continue (PPC) et vise à fournir une assistance ventilatoire au patient.
Volume courant Quantité d’air inspirée dans les poumons et expirée des poumons, au cours d’une respiration. Habituellement exprimé en litres.
Retour à l’index